Le Roazhon Park a été préselectionné par la Fédération française de football (FFF) ce mardi 22 mars, pour accueillir des matchs de l'Euro féminin de football 2025. Encore faut-il que la candidature de la France soit retenue. Rennes avait déjà accueilli la Coupe du monde féminine de football en 2019.

Rennes pourrait retrouver un événement majeur du football féminin en 2025. Le Roazhon Park a été préselectionné, ce mardi 22 mars, pour accueillir des matchs de l'Euro féminin de football 2025. La Fédération française de football (FFF) a annoncé douze villes retenues. "La FFF désignera les dix villes hôtes définitivement retenues en juin prochain, à la suite de l’instruction générale des différents dossiers de candidature que l’UEFA réalisera en avril", explique la fédération dans un communiqué.
La ville de Rennes avait déjà reçu en 2019 des matchs de la Coupe du monde féminine de football, jusqu'aux quarts de finale. Pour recevoir l'Euro 2025, il faut que la candidature de la France soit retenue. Les dossiers de candidatures seront déposés le 12 octobre 2022 et la désignation est attendue pour décembre 2022. La Pologne a déjà officialisé sa canidature, tout comme plusieurs pays scandinaves (Danemark, Norvège, Finlande et Suède) réunis dans une candidature commune.
Avec Rennes, les villes de Grenoble, Le Havre, Lens, Lyon, Metz, Nantes, Nice, Paris, Reims, Troyes et Valenciennes sont également préselectionnées. La FFF souligne dans son communiqué "la qualité remarquable des dossiers présentés par les villes hôtes candidates à l’organisation de cette épreuve majeure du football féminin."
Il était depuis de longues années un pilier de l'organigramme du Stade Rennais. Arrivé en 2006, Karim Houari quitte le Stade Rennais à la fin du mois de mars. Compétent, discret et apprécié des supporters, il s'en va pour un nouveau projet professionnel.

Il aura connu cinq présidents différents, neuf entraîneurs, et siégé au comité de direction du Stade Rennais pendant plus de quinze ans. Quinze années au service du Stade Rennais, qui prennent fin cette semaine. Confirmant une information de TV Rennes, Karim Houari a bien vécu son dernier match au Roazhon Park dans son rôle de stadium manager dimanche dernier face à Metz.
Un rôle large, qui l'a vu s'occuper des relations avec les supporters - il est d'ailleurs très apprécié des membres historiques du RCK, certains regrettant déjà son départ - mais aussi des différentes infrastructures du club (Roazhon Park, centre d'entraînement, siège administratif).
Un nouveau projet professionnel ?
Il était d'ailleurs la figure de proue du club dans le compliqué dossier de la "Piverdière 2", l'extension du centre d'entraînement, qui crée des tensions dans l'équipe municipale à Rennes et dans les couloirs de la Piverdière.
Ancien joueur de basket de haut niveau à l'Aurore de Vitré, puis assistant coach, il s'était reconverti en parallèle de sa carrière sportive. Karim Houari est notamment titulaire d'un DESS management du sport et d'une maîtrise en droit des affaires.
Pris à partie par les supporters des Girondins de Bordeaux lors de la défaite de Marine et Blanc contre Montpellier (0-2), ce dimanche, Benoît Costil a notamment subi des accusations de racisme. Le portier de 34 ans peut compter sur le soutien affiché par les supporters du Stade Rennais, son ancien club.

Benoît Costil vit sans doute ses heures les plus difficiles en tant que gardien des Girondins de Bordeaux. Dimanche, lors du revers concédé par les Bordelais contre Montpellier (0-2), le portier de 34 ans a été pris à partie par une grande parie des supporters du Matmut Atlantique. Alors qu’un échange très tendu a eu lieu entre le porte-parole des Ultramarines et Costil à la fin de la première période, le groupe de supporters majoritaire du club aquitain a ensuite scandé des « Costil raciste » depuis les tribunes de l’enceinte bordelaise.
Costil a le soutien du vestiaire
Face à l’attitude des supporters, et ce malgré le mutisme de la direction girondine sur ce sujet, le vestiaire a fait savoir qu’il faisait bloc autour du gardien de 34 ans. Concernant ces faits supposés de racisme, aucun élément précis n’a été communiqué par les Ultramarines.
Dans la tourmente, Benoît Costil peut compter sur les fans du Stade Rennais. Le gardien, passé par le club rouge et noir entre 2011 et 2017, a reçu plusieurs messages de soutien sur les réseaux sociaux. « Costil raciste… et puis quoi encore ? ! ? On connaît bien Benoît à Rennes… Et c’est des grosses conneries… » ou encore « C’est indigne de s’en prendre ainsi à un tel gardien qui se dépense sans compter dans tous les clubs où il évolue avec un professionnalisme remarquable ; la bêtise de certains supporters atteint des sommets de médiocrité ».
Le hashtag #SoutienCostil a rapidement été repris sur les réseaux sociaux.
Après 29 journées, les Girondins de Bordeaux pointent à la 20e place, à 6 points du premier non-relégable.
Raphinha est courtisé par le FC Barcelone, qui a même proposé 35 M€ pour le faire venir la saison prochaine. C'est Leeds qui tient désormais les manettes. Plusieurs options se posent devant le club anglais, certaines plus risquées mais aussi plus lucratives que d'autres.

La carrière de Raphinha risque bien de prendre un tournant à la fin de cette saison. Depuis son arrivée en Angleterre à l'été 2020 et sous les ordres de Marcelo Bielsa, l'ailier a pris une dimension internationale. Appelé depuis l'an dernier par la Seleçao (6 sélections, 3 buts), le Brésilien est devenu l'un des joueurs clés de Leeds, malgré cette dernière saison en dent de scie, voire carrément mauvaise. Les résultats ont même eu raison de l'entraîneur argentin, pourtant adoré par tout le monde.
Raphinha (25 ans) risque d'être le prochain à partir sur la liste. Ses prestations sont épiées par l'Europe du football. Le PSG s'est intéressé à lui puis le Bayern Munich a été tout proche de sortir le carnet de chèques cet hiver. On parlait alors d'un transfert bouclé à 50 M€. Il est finalement resté chez les Peacocks jusqu'à la fin de la saison afin de les aider à obtenir le maintien. C'est d'ailleurs en partie de cela dont il s'agit dans cet article car Leeds occupe une préoccupante 16e place, 7 points devant le premier relégable.
Leeds hésite pour Raphinha
De cet avenir en Premier League dépendra aussi l'avenir de l'ancien Rennais. Le maintien ou non déterminera surtout sa valeur. On apprenait hier par l'intermédiaire des médias catalans que le FC Barcelone l'avait choisi pour assurer l'avenir après le départ très probable d'Ousmane Dembélé, en fin de contrat en juin prochain. Une offre de 35 M€ a même déjà été formulée, alors que Leeds l'avait recruté environ 20 M€ à Rennes. Une belle somme mais qui pose aussi un joli casse-tête à la direction.
Tandis que les négociations pour une prolongation n'avancent pas, le Brésilien possède une clause libératoire de 75 M€, une somme beaucoup trop élevée pour les finances blaugranas. Le club anglais serait inspiré de refuser l'offre barcelonaise pour faire grimper la note seulement il y a un gros risque. Selon Sport, cette clause tombe à 25 M€ en cas de relégation en Championship. La possibilité d'une descente en fin de saison existe car Everton, actuel 17e, a trois matchs de retard, comme Burnley, 19e, et 8 points derrière les Whites.
Un risque réel de relégation
Watford (18e) et Norwich (20e), les deux autres relégables, comptent également un match en moins par rapport à Leeds, qui a réussi à mettre fin à une série de 8 matchs sans victoire (7 défaites) il y a dix jours, notamment grâce la venue de Jesse Marsch. Le nouvel entraîneur sait d'ailleurs qu'il sera compliqué de conserver ses meilleurs joueurs. «J'aimerais garder des gars comme Kalvin (Philipps), Patrick (Bamford) et Raphinha. J'aimerais garder ces gars ici aussi longtemps que possible. Alors on verra. Ces conversations auront lieu.» Même en cas de maintien.
Malgré sa belle saison avec l’équipe de Bruno Génésio, le milieu de terrain en fin de contrat en juin prochain ne sera pas prolongé par Rennes et partira donc libre dans quelques semaines.

Difficile de lui reprocher quoi que ce soit. Revenu à un niveau de performances très convenable cette saison après avoir souffert de plusieurs blessures depuis son arrivée à Rennes à l’été 2019 en provenance de Strasbourg, Jonas Martin a su s’imposer comme un élément important du milieu de terrain de l’équipe entraînée par Bruno Génésio. Auteur de sa meilleure saison sous le maillot rouge et noir, son avenir va pourtant s’écrire sous d’autres cieux dans quelques semaines.
En effet, après avoir poussé la réflexion, le club breton, sous l’impulsion de son directeur technique Florian Maurice, a pris la décision de ne pas prolonger le contrat du joueur qui se termine en juin prochain afin de privilégier d’autres options dans ce secteur, notamment Baptiste Santamaria, recruté pour près de 15 ME l’été dernier, et le jeune Lesley Ugochukwu.
Très apprécié dans le vestiaire pour son état d’esprit, et respecté pour tous les efforts fournis pour revenir au top niveau, Jonas Martin, 32 ans le mois prochain, disait « ne rien vouloir forcer » pour son avenir, dans les colonnes du Télégramme le mois dernier. Il a été informé de son départ ce mercredi. Une page va se tourner pour lui et le club, troisième de Ligue 1, en pleine bourre en ce moment dans la course pour une qualification européenne.
Depuis près de neuf mois, l’église Saint-Pierre de Trévérien (Ille-et-Vilaine) connaît des travaux de restauration, financés par l’enfant du pays, François Pinault. C’est après une visite de l’église avec son frère Henri, au mois de mai 2021, que l’homme d’affaires a envisagé de contribuer à la restauration du lieu de culte, note le maire, Vincent Melcion.

Par l’intermédiaire d’un chargé d’affaires, il a sollicité l’élu et le représentant de la paroisse Louis Régeard pour réaliser un inventaire des besoins afin de mener à bien la restauration du bâtiment datant du XIXe siècle.Sur la base de nos propositions, François Pinault en a validé une grande partie, qui a été ensuite approuvée par le conseil municipal.
La première réalisation a été la création d’un nouveau calvaire, à la place de l’ancien situé à l’entrée de l’église. Une croix en bois a été créée intégralement, à laquelle s’est ajoutée une statue du Christ provenant de l’ancienne paroisse de Meillac.
Après le calvaire, les joints de mur de soutènement au bord de la rue des Forges ont été repris.
À l’intérieur du bâtiment religieux, le tableau du XIXe siècle du retable sud, représentant le Christ Sauveur, a aussi été restauré. Courant décembre, l’ensemble de l’électricité a été mis en conformité, ainsi que le tableau électrique et la sortie de secours. L’ensemble des bancs de l’église a été remis à neuf, récupérant leur teinte d’origine. En ce début d’année, c’est au tour des lustres de retrouver leur éclat.
Actuellement, les travaux concernent les transepts de l’église. Ils comprennent la reprise de maçonnerie, ainsi que la réalisation de la peinture intérieure. Puis s’enchaînera la réfection de l’escalier du clocher.
François Pinault propose en projet la réalisation d’un chemin de croix, créé par un artiste de son choix, qui devra ensuite être approuvé par le conseil municipal.
L'ancien milieu de terrain Jean-Luc Ribar, formé à Saint-Etienne et passé par le Stade Rennais à la fin des années 80 et début 90, est mort, à l'âge de 57 ans.

Formé à l'ASSE, qui annonce son décès, Jean-Luc Ribar a porté le maillot rouge et noir durant 183 matchs, rapporte le site rougemémoire. Le joueur est également passé par Lille et Quimper durant sa carrière. Une carrière stoppée à l'âge de 30 ans, suite à des problèmes de hanche.
"Ce passionné de basket dirigeait plusieurs entreprises de nettoyage dans sa ville natale", indique l'AS Saint-Étienne qui "pleure la disparition tragique et soudaine de son ancien joueur." Une minute d'applaudissements en mémoire du milieu défensif est prévue ce vendredi soir, à l'occasion de la rencontre de Ligue 1 ASSE-Troyes.
En guerre contre les IPTV et les sites de streaming illégaux qui concurrencent les chaînes ayant les droits de diffusion de la Ligue 1 et de la Ligue 2, la LFP se congratule d’avoir accompli « une étape essentielle dans la lutte contre le piratage » , selon le communiqué publié sur le site de la Ligue. En effet, ce mercredi, l’instance organisatrice des plus hautes compétitions du foot en France se félicite « de la décision rendue le 17 mars dernier par le président du tribunal judiciaire de Paris ordonnant le blocage par les fournisseurs d'accès à Internet (FAI) français de l'accès à des services IPTV pirates » .

De plus, grâce à cette décision, l’ARCOM pourra demander le blocage dans de meilleurs délais des sites diffusant la Ligue 1 et la Ligue 2 de manière frauduleuse. HADOPI estimait en 2020 que le nombre d’utilisateurs d’IPTV en France s’élevait à 3,4 millions de personnes, pour une perte d’un milliard d’euros pour l’ensemble des groupes audiovisuels.
Bientôt plus le choix que de souscrire à un abonnement à Amazon pour regarder l’équipe du siècle : le Stade rennais.
Au lendemain de l’élimination du Stade Rennais en huitième de finale de Ligue Europa Conférence face à Leicester, jeudi 17 mars, plusieurs photos ont montré l’état déplorable du vestiaire visiteur du Roazhon Park après le départ de l’équipe anglaise. Un constat qui a choqué le club breton, dont le président du conseil d’administration, Jacques Delanoë.

Le Stade Rennais était déjà sorti frustré de son huitième de finale de Ligue Europa Conférence face à Leicester, jeudi 17 mars (vainqueur 2-1 au Roazhon Park mais éliminé après sa défaite 2-0 au match aller). L’état du vestiaire visiteur après le départ des Anglais, constaté après le match, a encore ajouté de l’agacement du côté du SRFC : des déchets sur le sol, sur la table ou dans les casiers individuels.
Un manque de savoir-vivre qui a notamment « surpris et choqué » Jacques Delanoë, président du conseil d’administration du Stade Rennais, qui met en avant les bonnes relations entre les dirigeants de Rennes et Leciester sur cette double confrontation : « Cela s’est très bien passé, ils nous ont bien reçus à Leicester et on les a bien reçus à Rennes. » Mais pour le dirigeant rennais, le comportement de l’équipe entraînée par Brendan Rodgers est de nature à ternir « l’image » du club champion d’Angleterre en 2016.
« C’est indigne d’un club qui a été champion d’Angleterre, je trouve cela totalement lamentable. Je crois qu’on avait vu ça une fois à Rennes et je crois que c’était déjà un club anglais. L’image d’un club est sur le terrain mais aussi dans la manière dont on quitte un club adverse. Je peux vous dire qu’au Stade Rennais, on veille toujours à laisser un vestiaire propre. » Et Jacques Delanoë de rajouter pour conclure : « Nous avions malheureusement déjà eu par le passé l’occasion de goûter amèrement au fameux fair-play anglais, voici une fois encore la preuve que les gentlemen sont sans doute plus du côté de la Bretagne que de la Grande-Bretagne… »
Alors qu'un nouvel appel d'offres pour la Coupe de France sera lancé la semaine prochaine, Amazon, détenteur des droits de la Ligue 1, s'est manifesté pour prendre la suite d'Eurosport et France Télévisions.

Ce serait une petite révolution dans le paysage audiovisuel français de la Coupe de France. Alors que le contrat des diffuseurs actuels (Eurosport et France Télévisions) s'achève en fin de saison et qu'un nouvel appel d'offres sera lancé la semaine prochaine, Amazon, détenteur des droits de la Ligue 1, s'est manifesté pour prendre la suite.
La FFF déçue par la qualité des programmes actuels
Cette compétition permettrait à ce nouvel entrant parmi les détenteurs de droits d'enrichir sa grille lorsqu'il n'y a pas de Championnat. La Fédération, déçue par l'exposition et la qualité des programmes de la Coupe de France sur les antennes d'Eurosport et France Télévisions, ne verrait pas d'un mauvais oeil l'arrivée d'un nouvel entrant pour peu qu'elle récupère grosso modo ce qu'elle touche actuellement, à savoir 22 millions d'euros annuels.
Selon un proche du dossier, la Fédération française de football pourrait proposer un nouveau découpage des lots et pas seulement la coupe de France masculine dans un et la féminine dans l'autre, comme elle souhaitait le faire. Elle recherche soit un diffuseur payant associé à une chaîne gratuite, soit un payant qui sous-licencierait à un gratuit.